D’après une dernière étude, les personnes trouvent leur vrai style quand ils atteignent l’âge de 30 ans, période où auquel notre dressing atteint son niveau de raison.
Il eut la période néo-bab’ portant infatigablement son jean flare trop long sur le sol, l’ère “jamais sans mon cropped-top” comme Britney Spears ou encore cette période de “working-girl” avec la jupe crayon très moulante et d’escarpins aigus douteux, assurée que apporterait une véritable vraisemblance. Affectueuse candeur.
Et avec de l’expérience et des tribulations, on parvient enfin à un certain âge de maturité et de sagesse en matière d’habillement. On s’éduque et on sait refuser un jegging, au blazer à épaulettes, aux cuissardes en cuir car en toute vérité, ce n’est ni relax, ni insigne. Et, c’est à 30 ans, du moins que cela se passe d’après une autre étude publiée sur le site The Brit.
En fait, c’est arrivé à la trentaine qu’on nous trouve enfin notre style, notre garde-robe étant habituellement garnie de pièces préférées avec plus d’attention, de goût et d’idée que celles procurées spontanément 10 ans avant. On sait désormais, ce qui va aller avec nous et ce qui ne va pas aller, ce qui nous procure le bien être, et ce qui ne nous en procure pas. Pratiquement, on achète dorénavant un jean au délavage délicat et à la coupe qui dessine notre corps sans le faire souffrir.
L’âge où le budget est suffisant
On dit aussi qu’à 30 ans on a habituellement le plus de budget pour acheter de belles pièces. Au bureau, on commence à avoir plusieurs années d’ancienneté, un salaire qui est incomparable à celui d’un débutant et ce sans trop dépenser en couches, petits pots et autres merveilleuses dépenses pour son enfant.